Premier spectacle de l'année 2008, qui ne commence pas l'année en douceur...
Trois hommes sur scène (dont deux hommes noirs), un petit écran sur lequel sont projetées des archives de films historiques; chacun leur tours, en musiques souvent, ils énumèrent les massacres perpétués depuis trois siecles sur les peuples les plus "faibles". Depuis l'attentat du 11 septembre, les trois acteurs reviennent petit à petit sur la disparition des Amériendiens, des Aborigènes de Tasmanie, sur la traite négrière, les diverses exterminations, la colonisations et, à l'autre bout, les bourreaux et leur bonne conscience de puissances démocratiques, le tout accompagné d'images, par forcément "dure" en elles mêmes, mais TRES évocatrices accompagnées des textes... (le continent Asatique semble avoir été délibérément occulté).
L'auteur de Bloody Niggers (Dorcy Rugamba) est un rescapé du génocide rwandais; il sait de quoi il parle lorsqu'il évoque les massacres perpétrés sur les faibles... massacre rwandais qui termine en apothéose ce constat du monde.
Trois hommes sur scène (dont deux hommes noirs), un petit écran sur lequel sont projetées des archives de films historiques; chacun leur tours, en musiques souvent, ils énumèrent les massacres perpétués depuis trois siecles sur les peuples les plus "faibles". Depuis l'attentat du 11 septembre, les trois acteurs reviennent petit à petit sur la disparition des Amériendiens, des Aborigènes de Tasmanie, sur la traite négrière, les diverses exterminations, la colonisations et, à l'autre bout, les bourreaux et leur bonne conscience de puissances démocratiques, le tout accompagné d'images, par forcément "dure" en elles mêmes, mais TRES évocatrices accompagnées des textes... (le continent Asatique semble avoir été délibérément occulté).
L'auteur de Bloody Niggers (Dorcy Rugamba) est un rescapé du génocide rwandais; il sait de quoi il parle lorsqu'il évoque les massacres perpétrés sur les faibles... massacre rwandais qui termine en apothéose ce constat du monde.