dimanche 30 novembre 2008

l'enfant bleu, Henry Bauchau

:)

Présentation de l'éditeur :

A Paris, dans un hôpital de jour, Véronique, psychanalyste, prend en charge Orion, un jeune adolescent gravement perturbé. Malgré ses difficultés, elle discerne qu'il est doué d'une imagination puissante et entreprend de l'orienter vers le dessin et la sculpture. Les chemins de la création et ceux de la vie quotidienne sont semés d'incertitudes et d'échecs, mais dans ses "dictées d'angoisse", Orion parvient à s'ouvrir à la parole et à mettre en mots ce qui le hante. Au fil des années et suivant des voies inusitées, l'œuvre - l'œuvre intérieure et l'œuvre artistique - apparaît et s'affirme. Le délire, la confusion, les surprenants effets de l'art en actes, la patience des déliants qui partagent les efforts du "peuple du désastre" (les handicapés), le mystère indicible de la souffrance que combat l'opiniâtre espérance, tels sont les thèmes de ce livre où Henry Bauchau a versé beaucoup de son expérience de la psychose et de l'analyse pour atteindre, au-delà du vécu, à la vie du roman. Sous le signe de l'espoir, la présence fugitive de "l'enfant bleu" éclaire Orion et Véronique sur un chemin de compassion

lundi 24 novembre 2008

Blood diamond

Oui bon, en même temps il a plu tout le week end donc on a bien eu le temps de regarder des films.
Donc Blood diamond, un LONG film (presque 2h30...), mais bien. Bon quelques personnages sont un peu stéréotypés je trouve, genre Salomon qui est à la fois le grand nounours super pacifiste qui devient l'homme bestial quand on touche à son fils, qui est à la fois naïf et bon, le vilain méchant qui finit par devenir gentil, la jolie-gentille femme qui tombe amoureuse du vilain méchant et qui finit par le rendre gentil, les gros vilains méchants qui meurent à la fin... Non je ne raconte pas l'histoire et laisse du suspens quand même... Le film est assez chouette dans l'ensemble.

Charlie Barlett

:) :) :) :) :)
Un film drôle, des acteurs sympa, une histoire bien reflechie... ça m'a fait pensé à Juno, pas du tout le même genre d'histoire hein, mais l'histoire d'un ado finalement assez bien dans ses baskets qui assume ce qu'il fait et reflechit "sainement", comme on aimerait tous arriver à le faire.
J'ai bien aimé.

samedi 22 novembre 2008

l'échange


Aucun film ne nous tentait trop ce soir. Je voulais voir "les bureaux de Dieu" qui ne passait que dans le MK2 Beaubourg, ou "Stella", uniquement dans le MK2 Hautefeuille, mais ni l'un ni l'autre dans les deux cinés où on aime bien aller. Et puis Seb n'était pas emballé ni par l'un ni part l'autre... Donc envie d'aller au ciné, des places à utiliser, quoi aller voir...
finalement dans le programme du ciné à coté de chez nous, il y avait ce film dont le synospis ne m'avait pas trop attiré, mais j'ai vu qu'il était de Clint Eastwood et du coup ben j'ai eu envie d'aller voir.
Un bon moment dans l'ensemble. Des instants forts, une histoire bien menée. Les lèvres d'Angélina Jolie sont vraiment énormes quand même (elle se les est faite refaire ???), et puis l'ensemble et un peu mou... Mais j'ai quand même bien aimé.

Thomas Dutronc

Mardi soir.
Malade depuis dimanche (retour de vacances évidemment...), nez qui coule et tête comme une enclume, crevée après une dure journée de boulot (ma collègue de l'HAD est en congé donc je dois voir tous les patients, mais seule sur mon mi temps), donc chouette on va au concert.
Même genre de voix que son papa, mais en plus doux peut être (moins grinçant), bref des tonalités maternelles également... Mais des chansons un peu nunulles il faut le dire, et puis sans charme particuliers, gros bof quoi.
Bon sur les deux heures de spectacle il n'a pas chanté plus de 5 chansons alors en même temps... Par contre lui et son groupe ont pas mal joué de musique (guitares/violon), et là c'était assez chouette.
Sauf vers la fin de la demi heure de rappel le violonniste s'est mis dans un trip de je ne sais quoi et a commencé à jouer sans plus s'arréter, je n'ai plus du tout apprécié quoi que ce soit. Entre la tête qui est déjà bien lourde, les yeux qui ne demandent qu'à se fermer (en concert c'est un comble mais si si ça peut arriver, il suffit d'être bien malade...), le cerveau qui dit je veux dormir, la chaleur de la salle et la musique entétante de ce violonniste fou, je n'en pouvais plus.
Bref, un moment que je n'ai surement pas su apprécier à sa juste valeur, dommage, et dont je ne garde donc pas un souvenir transcendant (malade ou médiocre, va savoir...)

lundi 17 novembre 2008

La très très grande entreprise

:]
Moment agréable mais pas non plus fabuleux. On y est plus allé pour voir les gens qui y allaient aussi et dîner après au "Passage" (en face du Cezanne, à aix), "petit" restau que nous ne connaissions pas.